Friday, March 11, 2011

1984


Fragment din "1984" de George Orwell:

The Ministry of Truth - Minitrue in Newspeak (note: Newspeak was the official language of Oceania) - was startingly different from any other object in sight. It was an enormous pyramidal structure of glittering white concrete, soaring up, terrace after terrace, three hundred meters into the air. From where Winston stood it was just possible to read, picked out on its white face in elegant leathering, the three slogans of the Party:

WAR IS PEACE

FREEDOM IS SLAVERY

IGNORANCE IS STRENGTH.

The Ministry of Truth contained, it was said, three thousand rooms above ground level, and corresponding ramifications below. Scattered about London there were just three other buildings of similar appearance and size. So completely did they dwarf the surrounding architecture that from the roof of Victory Mansions you could see all four of them simultaneously. They were the homes of the four Ministries between which the entire apparatus of government was devided: the Ministry of Truth, which concerned itself with news, entertainment, education, and the fine arts; the Ministry of Peace, which concerned itself with war; the Ministry of Love, which maintained law and order; and the Ministry of Plenty, which was responsible for economic affairs. Their names, in Newspeak: Minitrue, Minipax, Miniluv, and Miniplenty.
The Ministry of love was the really frightening one. There were no windows in it at all.

Thursday, March 10, 2011

When crazy people say amazing things


(de unde si ipoteza ca nebunia poate veni din prea multa inteligenta - folosita gresit, insuficient exploatata or something)
Din cronica jurnalistei si umoristei quebecoase Julie Laferrière (ziarul Métro de Montréal), care descrie saptaminal cite un original utilizator al transportului in comun:
À maintenant deux pouces de mon visage, l'homme d'environ 40 ans aux cheveux noirs en bataille parle haut et fort afin d'enterrer sa musique imaginaire. Imaginaire, parce qu'il est muni d'écouteurs... qui ne sont reliés à rien. Mais, de toute évidence, il entend des choses en stéréo.
"Au Brésil, ils n'ont pas de montre parce que ça structure le temps. Y'en ont pas besoin. Y sont déjà dans le futur. Pis y'ont la plage. Qui veut savoir l'heure quand y'a la mer?!"

Monday, March 7, 2011

On kissing


Presque tous les humains embrassent et pourtant la science n'a toujours pas réussi à déterminer pourquoi ils le font. Est-ce instinctif ou culturel? Une chercheuse américaine a compilé des études historiques, sociologiques, neurologiques - et même zoologiques - pour percer le mystère du baiser.
Dans son livre "La science du baiser: ce que nos lèvres nous révèlent", Sheril Kirshenbaum, de l'université du Texas à Austin, tente de remonter à l'origine de cette pratique, présente dans 90% des cultures à travers le monde.
D'après cette chercheuse, les scientifiques soupçonnent que le baiser serait un dérivé du reniflement. Certains anthropologues avancent que la première salutation de ce type aurait pu être un échange nez-à-nez où chacun humait l'odeur de l'autre pour le reconnaître ou vérifier son état de santé.
La première mention d'un baiser sur les lèvres se trouve dans la littérature indienne d'environ 1.500 av. J.-C. Un texte védique, en sanskrit, décrit une pratique qui consiste à humer avec la bouche. Un autre raconte comment le "jeune seigneur de la maison lèche souvent la jeune femme". Un autre encore parle d'amants qui "posent leur bouche l'une contre l'autre". Enfin, une ancienne loi hindoue réprimande l'homme qui "boit l'eau des lèvres d'une esclave".
Dans ses "Histoires", rédigées au Ve siècle av. J.-C., le Grec Hérodote évoque les baisers qu'échangent les Perses: lèvres à lèvres pour les personnes de même statut social, celles d'un rang inférieur devant embrasser le sol ou les pieds de leurs supérieurs.
Un mythe babylonien, gravé dans la pierre au VIIe siècle av. J.-C. et inspiré de légendes orales bien plus anciennes, fait référence à un baiser de salutation et à un baiser de supplication (par terre ou sur les pieds), rapporte Sheril Kirshenbaum.
La Bible elle-même regorge de baisers, tout comme la littérature et les arts plastiques occidentaux. Parfois décrié comme sale, le bouche-à-bouche européen a tout de même traversé les âges, se propageant même là où les explorateurs du Vieux Monde se sont aventurés. Le baiser de salutation a toutefois été délaissé ponctuellement, par exemple dans le Londres des années 1660 décimé par la Grande Peste, où il a été remplacé -c'est plus prudent- par la poignée de mains.
D'après Sheril Kirshenbaum, aujourd'hui, plus de six milliards d'êtres humains posent régulièrement leurs lèvres sur celles de leurs semblables, pour des raisons sociales ou sentimentales.
La chercheuse confie avoir été surprise par la différence qu'elle a observée entre les sexes. "Je n'aime pas du tout les stéréotypes de genre, mais j'ai vu tellement d'études sur cette division", note-t-elle. "Les hommes ont tendance à décrire le baiser comme un moyen de parvenir à une fin, espérant obtenir davantage, tandis que les femmes accordent beaucoup plus d'importance au baiser lui-même".
Ils tombent d'accord en revanche sur les conséquences que peuvent avoir de piètres performances en la matière. Ainsi, d'après une enquête citée par l'auteure, 59% des hommes et 66% des femmes disent avoir mis fin à une relation parce que leur partenaire embrassait mal.

Par Leanne Italie--, The Associated Press | La Presse Canadienne – sam. 5 mars 2011 10:39 HNE

http://www.youtube.com/watch?v=NDgncPD0bew

PS: Mai zicea o critica a filmului "Frech Kiss" ca un sarut French (=cu limba) e un act mai intim decit a te afla cu cineva in pat.

(hahahah - how ironical - postare din vremea celui mai crunt herpes din viata mea!)